Avoir 20 ans en l'an 2000.

 

 

Est-ce marrant, effrayant
Exaltant, perturbant ?.
Ou est-ce tout simplement
L'insouciance due aux 20 ans ?

C'est sortir de l'ombre
Du siècle précédent
Pour se retrouver projeté
A la lumière du siècle futur.
C'est partir vers l'avenir
D'un pied souple mais sûr,
Et n'avoir, pour tout bagage :
Que ses 20 ans !

C'est savoir que tout :
Le bon, le moins bon et même le pire,
Deviennent possible.
C'est aussi avoir le choix de :
S'investir ou ne rien faire.
Mais comme ne rien faire ce serait régresser,
A 20 ans on ne peut plus reculer
 

Pour le moment, Faisons la fête,
Je veux boire, rire,
Et chanter à tue tête,
J'ai 20 ans, maintenant !
 

Mars 00, d.wm

 

Elle a été toute petite
39 jours...

et a très vite grandi 3 ans

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Voici une année que notre aventure sur Internet et ICQ a commencé. Quelle belle aventure ma foi !!! Si j'ai pu réaliser ce que je croyais irréalisable, c'est bien grâce à la confiance aveugle que tu m'as témoignée. Ton comportement de croire en ma réussite et en faisant abstraction de nos âges, a eu raison de nous.

Je peux t’affirmer que pour moi ce fut une sacrée aubaine de connaître ta maman. Elle m’a fait un superbe cadeau en te confiant à moi de temps en temps. La confiance de ton papa à mon égard doit être également relevée et c'est aux trois que je dis :  Merci !

Tu sais comment le symbolisme des Nombres compte pour moi. A cette occasion je voudrais te signaler que trois cycles de 7 ans = 21 ans est le temps prévu par les forces de la nature et indispensable pour atteindre la majorité. 
Mais voilà on croît faire mieux et on fixe des majorités un peu n'importe comment, 20 ans et moins encore.
Malgré, même, si je ne suis pas d'accord, que puis je faire avec mes 148 cm seule contre tous ? Je sais, je n’aurais jamais le dessus et c'est bien dommage. Entre-nous, crois tu vraiment que c'est ce que je recherche ? Ce que recherche c'est le bonheur du monde et ça non plus je ne l’aurais pas.          Marraine

18 octobre 1999.
 

Le temps a passé:

Union de Olivia  & Magnus

Évènement :

le  12 mai 2007

 

Lucas

 

 

C’est l’histoire d’une grande fille qui ne voulait pas devenir adulte

et d’une grand-mère qui craignait le ridicule. ….

(C'est celle d'Olivia et de sa marraine)


La grande fille, ne souhaitant pas sortir de sa douce enfance, s’entourait de peluches, d’images et d’objets représentants : contes de fées, animaux fantastiques ainsi que toute la panoplie des dessins animés. Trouvant le monde des grands difficile et trop souvent déprimant, elle se réfugiait dans ce monde de rêves et de couleurs.
Voyant la vieille dame épuisée par une douloureuse opération et souhaitant faire partager avec elle la joie qu’elle même ressentait à s’entourer de peluches douces et chatoyantes, il lui vint à l’idée d’offrir à la dame un mignon petit canard jaune. Malheureusement le cadeau ne fut pas du goût de l’aïeule.

Afin de sauvegarder sa dignité de grand-mère et ne se sentant pas en état non plus d’affectionner une peluche si mignonne soit elle, elle rassemblant le peu de force qui lui restait, protesta énergiquement et somma la jeune fille de reprendre son canard. Les peluches, c’est bon pour les bébés.
Grand- maman n’en voulait pas, un point c’est tout.
Voyons dit elle à la jeune fille …
<N’as tu vraiment pas envie de devenir une adulte un jour, responsable ?>
Hé bien non ! La demoiselle était tout à fait à l’aise dans cette atmosphère de chansons, de couleurs et de romantisme à la Garfield, Cochonnet et tous les autres.

Entêtée, la jeune fille feinta de reprendre son canard mais, se ravisant, elle le déposa sur une chaise pas trop loin de là, juste pour que l’infirmière au matin, s’écrie en le voyant : < ho le joli canard>
C’est donc bien ainsi que cela se passa. L’infirmière, joignant le geste à la parole, déposa la peluche au côté de la grand mère croyant ainsi lui être agréable.

Ho la peste ! s’écria mère-grand.
Ainsi cette chipie n’a que faire de mes souhaits !

L’histoire aurait pu se terminer ainsi, mais non ….…
L’aïeule ayant plus d’un tour dans son sac et n’en resta pas là….

<Je vais concocter une bonne leçon à cette gamine qui ose outrepasser les désirs d’une malade. On verra bien qui aura le dernier mot…. dit-elle >.

Après un court temps de réflexion grand-mère prit son courage à deux mains, emballa soigneusement le caneton, le rangea bien au fond de la table de nuit et, attendit patiemment la visite de la jeune fille.
Elle arriva en fin de journée et après avoir tendrement embrasser grand-mère, la jeune fille  jeta un regard circulaire dans la chambre.
Ha ! Il n'y a apparemment aucune trace du caneton, la jeune fille se demandait où la peluche  pouvait bien se trouver. Grand-mère resta impassible .

Après quelques  questions sournoisement posées  de la jeune fille, auxquelles grand mère répondait avec indifférence et prétendant même n’avoir rien vu ! Elle alla même jusqu'à accuser la veilleuse de nuit de l’avoir emporté.
La jeune fille, pas contente du tout, était outrée à l’idée que ce petit canard jaune  aurait pu faire l’objet d’un vol odieux. 

< Ha non ! Elle n’a pas le droit ….  S’exclama t elle ! >

Premier craquage de grand-maman.
La situation se dégradant, la grand-mère inventa une nouvelle stratégie.
< En effet l’infirmière l’a déposé ce matin sur mon lit et comme je n’en voulais pas je lui ai proposé de le prendre et de le donner à son enfant ce qu’elle a accepté avec grand plaisir.>

Deuxième déception de la jeune fille
<Ha ! Non tu n’avais pas le droit de donner mon cadeau  ! Je voulais juste te faire une farce, je l’aurais repris. Tu es méchante ! >
Et furieuse elle tournait, tournait en rond dans cette chambre, ne voulant pas admettre que sa farce avait mal tourné et qu’elle en était pour la perte de ce canard.
Mais voyons rétorqua grand mère...
<Un cadeau il me semble appartient à celui qui l’a reçu et si la cadeau ne plaît pas je ne vois pas pourquoi je n’en ferais pas en profiter quelqu’un d’autres ? >

Deuxième craquage de grand-maman.
Voyant la jeune fille s’énerver, se fâcher et tourner en rond dans la pièce, il lui vint à l’idée de lui dire :
<Glacé … froid … tiède >
A ce moment la jeune fille compris que le caneton ne devait pas être bien loin. En un rien de temps le sourire réapparu sur le visage de la jeune fille, son rêve n'était pas brisé.

La morale de cette histoire est que: Même si le cadeau est offert avec son cœur il ne doit en aucun cas être imposé.....

Noël à Stockholm


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