Chapitre 1

L’Âme
S’il te plaît Dieu (réflexion)
Clé de la manifestation
Pensée collective &  individuelle
Les roses de Jean(histoire)
Le nom et le mot
Il faut se méfier des mots (chanson)

 

 

L'âme d’un individu se trouve confrontée deux fois à l’expérience de la transition.

Une première fois au moment de la naissance,
 à l’instant précis où le nouveau-né prend son premier respir et,
pour la deuxième fois, le jour de sa mort.

L’âme

 

Le jour convenu et à l’heure fixée par le plan divin, la porte s’ouvre sur la vie, l’enfant fait la pénible expérience de sa naissance. C'est le moment le plus extraordinaire qu'un être humain puisse vivre, pour lui-même lors de son premier respir, mais également pour l’entourage qui assiste à la miraculeuse venue au monde de ce nouveau-né.

L'âme qui jusque là vivait dans un monde sans limite et sans contrainte se prépare à s’incarner. Elle a sans doute connaissance de la durée de cette expérience et de sa mission. Par contre les raisons lui sont dissimulées et il lui reste tout à découvrir.

 Nous pouvons nous imaginer la difficulté que l'âme rencontre lors de son intégration dans ce véhicule exigu mesurant à peine 50 centimètres.

Sachant par expérience et conscients des difficultés que représente une naissance, les vivants mettent tout en œuvre pour recevoir l’enfant dans les meilleures conditions possibles. Il est donc naturel que nous nous posions des questions par rapport au retour de notre âme dans l’au-delà. Le plan divin ayant tout pouvoir, tout laisse supposer que le défunt a toutes les chances lui aussi d’être accueilli dans l’au-delà dans les conditions aussi bienveillantes qu’elles le sont  pour le nouveau né.

Si nous pensons à l'angoisse que nous ressentons face à la mort, il semble également possible que l'âme soit inquiète à l’idée de s'incarner. Pour preuve il suffit de penser à l'enfant qui n'est pas toujours pressé de naître. Il présente quelquefois de la résistance et n'abandonne pas si facilement le cocon dans lequel il se sent si bien.

 

L’âme, connaissant la teneur de l’expérience terrestre en vue de son évolution et, ayant la vision des obstacles qu’elle aura à surmonter, est loin d’être rassurée devant ce qui l’attend. On peut s’imaginer que l’âme est comme un athlète face au sport qu’il s’est choisi et face à la compétition pour laquelle il s’est préparé. Il ignore encore si l’objectif qu’il s’est fixé est atteignable et s’il remportera la victoire.

Cette situation peut nous sembler assez confuse, elle l’est sans doute également pour l’âme qui s’apprête à s’incarner.

 

On peut se poser la question de savoir, comment l’âme est au courant de ce qui l’attend, et par quel moyen elle retransmet, en s’incarnant, les expériences acquises  dans les vies antérieures.

 

A la suite des récentes découvertes faites par d’éminents chercheurs au sujet de l’eau, (voir page 34) il a été découvert que l’eau a la faculté de garder en mémoire tout ce qu’elle rencontre  au cours de son parcours. L’eau est, sur le plan physique, la source de la vie de l’homme. Nous savons que l’être vivant ne peut survivre sans eau.  Il semble donc possible que,  comme l’eau, l’âme en s’incarnant soit porteuse de la mémoire de nos précédentes vies.

L’âme étant venue pour évoluer, elle va se souvenir des expériences et des évènements qui l’ont marquée durant ses différents passages. Elle oublie les corps qui l’ont véhiculée, de la même manière que l’eau ne se souvient pas du canalisateur qui lui a permis de se déplacer mais bien des traitements qu’elle a subi.

On peut se demander pourquoi l’homme ne se souvient pas de ses vies précédentes.

Pour chaque  incarnation, l’âme reçoit un nouveau corps. Elle n’a pas de raison de se souvenir des corps physiques précédents. Seul l’avenir compte. Pour avancer il est important de vivre le moment présent, sans se soucier des détails du passé.

 

AME et EMA

 

EMA, abréviation de : « Expérience de la Mort Approchée »[1] plus connue en anglais sous la définition de « Near Death Experience (NDE) ».

Certaines personnes ont eu l’occasion d’approcher la mort de si près qu’elles en ont parlé à leur réveil. Elles sont unanimes à prétendre qu’elles se trouvaient devant un long tunnel où se trouvait à l’autre extrémité une lumière vive.

La Vie et la Mort sont deux expériences identiques qu’il serait bon d’appréhender sans crainte et avec la plus grande confiance possible. Pour cela il est essentiel d’en avoir la meilleure compréhension possible.

 

EMA  signale le départ de l’AME.

 

Avant de s’incarner, l’enfant à naître est placé devant le même phénomène que la personne qui transite soit : quitter le ventre de sa mère dans lequel il se sentait en sécurité pour s’engager dans le difficile processus de la naissance sur terre.

Le travail de la transition est le même phénomène que celui de la naissance, mais à l’inverse soit : le retour de la matière vers l’immatériel.

 

Ayant un peu d’expérience en numérologie, j’ai essayé de m’expliquer la coïncidence des trois lettres « AME » qui sont les mêmes mais inversées selon l’arrivée sur terre ou le départ pour l’au-delà. 

Il est intéressant de constater que, lors du premier respir à la vie, le «A/1 » est au début du mot  « AME », alors qu’au moment de la désincarnation, le A/1 est à la fin du mot « EMA ». Dans le cas du retour de l’âme A/1 est à la fin du voyage comme pour signaler qu’une nouvelle naissance dans l’au-delà[2] est imminente. L’âme est prête à réintégrer le monde sans barrière d’où elle était venue.

 

A/1

Bien planté sur ses deux pieds le « A » est le pilier de l’alphabet et  le « 1 » le  premier des Nombres. Ils possèdent en eux tous les pouvoirs latents de créateurs d’actions nouvelles.

Il me semblait très cohérent que: « A/1 » soit au début de l’incarnation, car « A et 1 »  donnent la force et l’élan qui sont en eux pour entreprendre cette nouvelle aventure qu’est la venue sur terre.

 

M/13/4

Le M représente la matrice, la maturité. Il transforme, modèle et mature l’être entré dans sa nouvelle mission. Le 4 oriente, structure et stabilise l’être nouveau. (Voir aussi chapitre 2 : le carré (pages 61) et l’ovale, (page 60).

 

E/5 Les aspects du E/5 sont vecteurs d’énergie, de mouvements, d’adaptation et sont généreux. Ils donnent la force et la liberté d’adapter ce qui a été créé.

 


[1] mort approchée ou mort imminente.  
[2]
Voir chapitre OM

 

L’Âme                

S'il te plaît Dieu : 
Dis-moi, comment c'est l'Âme
[1]?
Est-ce grand, petit, mince ou épais ?
Ou bien encore, est-ce bleu, ou vert ?
Et si c'est transparent ou même invisible comment faire pour la reconnaître d'une autre ?

On a même été jusqu'à me dire que, le moment venu,
Et pour qu'elle soit admise dans l'Eternité,
Elle ne devra pas peser plus lourd qu'une plume !
C'est qu'alors, l'Âme, pour être aussi légère qu'une plume,
Doit sans doute être soumise à de nombreux affinages,
Nettoyages, purifications ?
Ainsi je comprends mieux la raison qui fait penser qu'elle revient  plusieurs fois et pourquoi il est si important d'en prendre bien soin.



[1] Petit Robert.  Ame : Principe spirituel, agent essentiel de la vie qui, uni au corps, constitue en « l'être vivant »

 

La Clé de la Manifestation

La pensée  

La pensée est une énergie magique qui offre un pouvoir extraordinaire. Elle est l'élément qui donne à l'individu le pouvoir de :

Méditer, Réfléchir pour ensuite Concrétiser son ressenti par des actions.

Les sentiments qui s’en dégagent seront harmonieux ou non selon la manière dont ils auront été manifestés.
A l’image du caillou jeté dans la mare le seul fait d’émettre une pensée déclenche dans l’environnement un mouvement qui n’est plus contrôlable. Il s’étend et chacun va le percevoir selon son entendement.

Une fois évoqué, le mot ne nous appartient plus. C’est la raison pour laquelle il est important de bien « penser le mot».

Afin de constater par soi même l’effet de la pensée je propose le petit exercice mental suivant :  

Imaginez que vous avez un citron devant vous, peu mûr de préférence. Imaginez que vous prenez un couteau et que vous coupez le citron en deux. Continuez, imaginant que le jus se répand sur vos doigts, sucez vos  doigts et portez le citron juteux à la bouche….
Pouvez-vous m’affirmer maintenant que cette expérience n’a pas activé vos papilles gustatives en vous faisant saliver ?

 

La pensée collective

De tout temps, et en raison de la survie du clan, de la tribu ou de la famille, l’homme a eu tout naturellement le devoir de suivre la pensée du chef du groupe auquel il appartenait. Se joindre à la pensée du chef était une pratique nécessaire pour le bien de tous.
Afin que règne l’ordre dans un pays, un état ou toute autre communauté, il est reconnu que des lois doivent être établies.
La pensée collective est une énergie prodigieuse qui peut amener l’humanité à des entreprises extraordinaires. Chaque jour nous pouvons constater l’effet des pensées collectives. Les courants de pensées, tels que les chaînes de solidarité constituées dans un but impersonnel, amènent peu à peu des changements manifestes et favorables pour l’ensemble de la communauté.  

La pensée collective peut amener également à sa destruction. Durant la deuxième guerre mondiale par exemple, la seule pensée d’Hitler a entraîné son pays, ainsi que des nations entières, à s’entretuer. Plus récemment nous avons encore présentes les images de guerres organisées par deux forces humaines ennemies, Saddam Hussein et Georges W. Bush. Il est bien certain que de gros intérêts financiers soient en jeu et contre ces deux forces antagonistes et dominatrices, l’équivalent contraire est bien entendu, perdu d’avance.
Des pensées et des mouvements anti-guerres ont été spontanément mises en place mais l’adage «  la raison du plus fort est toujours la meilleure » s’est avéré exacte.
Je ne voudrais pas polémiquer sur cette affaire qui dépasse mon entendement, toutefois j’imagine que la « clé » de cette sombre histoire n’est pas dans les mains de l’homme. Il existe des forces à dimension allant bien au-delà de la connaissance humaine et qu’il nous est impossible de contrer.

 

La pensée individuelle  

La magie de la pensée est en toute personne. Certains l’ont puissante, d’autres l’ont plus subtile, mais elle est toujours présente et susceptible d’être développée par des techniques comme la visualisation et la méditation.
Les vibrations découlant des pensées sont colorées et créatives
. Cela signifie que, même si elles ne sont pas forcément traduites par des mots, il n'en reste pas moins qu’elles reflètent notre personnalité, notre expression et qu’en conséquence elles agissent sur soi et sur les autres.
Les pensées (nous verrons plus loin les sons et même les formes) émettent des vibrations qui s’étendent au delà de notre imagination.

La pensée est comme un muscle, elle doit être entraînée avec énergie et persévérance afin de devenir toujours plus positive.
I
l est donc très important de veiller sur ses pensées. Par le biais de notre volonté, nous pouvons rendre les pensées soit positives soit négatives. Il est donc du plus grand intérêt d'apprendre à les dominer. Il est d’ailleurs difficile de parvenir à les conditionner et les transformer de la meilleure manière et cela ne peut se faire en un jour. C’est à force d’exercices répétés et d’autosuggestion qu’il est possible de les diriger pour une  meilleure application.

Ainsi au lieu de penser : « Cet évènement m’a rendu moins triste »

Habituez-vous à formuler votre pensée d’une manière positive :« Cette évènement m’a procuré de la joie »

Il peut vous sembler que le résultat soit le même,  oui peut être dans le fond, mais les conséquences auront un résultat tout différent sur le subconscient. Le subconscient s’imprègne de chacune de vos pensées telles que vous les formulez. Aussi, dans ce cas, il va retenir : « moins triste » alors qu’il devrait retenir « de la joie ».
L'influence de la pensée positive crée une amélioration psychique mais également physique. S'efforcer de penser positivement entraîne à la longue un comportement personnel différent.  

Des expériences ont prouvé que des personnes atteintes d'un cancer ou de toutes autres maladies graves se sont aidées à guérir à force de renoncer consciemment à l'idée d'être malade. Des mouvements chrétiens vont même jusqu'à nier la maladie et refusent tous soins. Si dans certains cas cela peut s'avérer efficace il faut tout de même se rendre à l'évidence, la pensée ne peut éviter les accidents, les maladies occasionnées par le mode de vie actuel, les épidémies les contagions. Il est bien entendu que si la pensée positive est salutaire, elle est surtout préventive. Il est néanmoins indispensable de faire appel à la médecine lorsque la maladie est confirmée.  

Oser formuler sa pensée ouvertement est une façon nouvelle de s’exprimer. Elle est récente et pas encore très bien accueillie, ni pratiquée partout. Dans de très nombreux pays et de très nombreuses familles, l’autorité du chef ne laisse aucun espoir de réaliser ses propres aspirations. Penser librement et surtout s'exprimer librement est encore de nos jours pure utopie pour beaucoup d’êtres humains.
L’homme, pour se délivrer des contraintes qu’il subit, cherche tout naturellement à s'individualiser. Pour cela il fait appel à une plus grande spiritualité qui est censée le rendre plus libre.

Libre de quoi, me direz-vous ? Puisque nous sommes et resterons toujours dépendants les uns des autres comme nous le sommes également de notre environnement. Et bien, l’homme est libre de se prendre en mains, libre de choisir le moyen qui lui correspond le mieux pour avancer sur le chemin de son évolution et selon sa propre conception de vie tout en respectant son environnement.
L’homme, très souvent, utilise sa pensée pour exercer un pouvoir sur ses semblables ou encore pour leur prouver qu’il détient la vérité. C’est là une situation grave que l’on rencontre de nos jours et un problème pour ceux qui n’ont pas encore la force et la sagesse de savoir penser par eux-mêmes. Beaucoup ont besoin d’être guidés et sont ainsi des proies faciles pour les manipulateurs qui exercent leur autorité afin de servir leurs intérêts personnels.

Pour d’autres encore, le besoin de penser comme la majeure partie des gens fait qu’ils trouvent leur avantage dans cette situation. Pour ceux qui n’ont pas envie de se marginaliser, les meneurs sont leur point de référence, ce qui leur semble important pour leur sécurité.
Peu de gens ne savent penser que par eux-mêmes. Pour la plupart, le recours à des références tels que journaux et médias de toutes sortes fait  qu’ils ingurgitent le tout sans même se demander si c’est de la fiction, de la réalité ou un moyen détourné de faire pression sur l’individu afin de le rallier à un courant de « pensée collective ».

L'ère du Verseau dans laquelle nous entrons, pousse l’homme à faire des choses nouvelles, pas seulement sur le plan de la modernisation. Il aspire de plus en plus à penser librement. Il souhaite surtout s’exprimer mieux par ses actes ou sa pensée. Reste à savoir si le fait de penser plus librement rend l'écoute meilleure ? Il est bien difficile de le dire.  

L’homme a reçu le pouvoir créateur de la pensée et  il est bien qu’il l’utilise pour son évolution. Mais il est devenu tellement sûr de lui que trop souvent il ne songe plus qu’à son bien–être personnel. Il est tellement préoccupé par son égo qu’il n’a pas le temps de voir ce qui l’entoure. Il passe ainsi à côté de l’essentiel, soit l’amour du prochain. Il n’a pas encore expérimenté le fait que « le don de soi » est « la clé de son bonheur ».  

Une pensée unique est inique, elle n’a pas de fondement solide.
Il faut donc se méfier des pensées qui se fondent sur une soi-disant vérité. Les religions sont un exemple de pensée unique puisqu’elles prétendent être les seules à détenir la vérité, mais n’en pratiquent pas moins l’intolérance.
Les religions, en s’appuyant sur des mots dont l’interprétation diffère selon le caractère du lieu, du moment ou de la perception de chaque individu, ne sont pas en mesure d’affirmer qu’il n’existe qu’une seule manière de penser. Elles ont le devoir d’informer, mais surtout pas d’endoctriner. Elles sont néanmoins des bibliothèques pleines de richesses qui donnent à chacun la possibilité de prendre ce dont il a besoin pour son évolution. Elles n’ont en aucun cas le droit d’imposer telle ou telle façon de penser ou d’agir. L’individu est seul devant sa conscience et ses responsabilités.

De plus en plus l’homme sensé souhaite une religion unique où chacun aurait le choix de sa pensée.
L’enfant doit être instruit dans ce qui est bien ou mal, mais il doit apprendre à le discerner par lui-même. C’est un devoir de société de lui donner la possibilité de vivre selon son idéal sans néanmoins faire tort à autrui.

 

L’eau  est  porteuse de mémoires  et  de  vie

De nos jours nous sommes en mesure de prouver l’influence des pensées.
Des chercheurs japonais ont voulu expérimenter le pouvoir des pensées et l’effet qu’elles produisent sur l’eau.
Pour cela ils ont préparé des vases remplis d’eau. Ils se sont concertés et ont émis des pensées positives dans l’environnement où l’on avait déposé ces récipients. Ensuite, ceux-ci transportés rapidement dans un endroit à température très basse, l’eau a très rapidement gelé et des cristaux très harmonieux se sont formés autour d’un noyau central.
Alors qu’ils firent la même expérience avec d’autres vases d’eau, cette fois ils créèrent des pensées négatives de haine, de mensonges et de guerre. L’effet fut plus que troublant. L’eau des récipients, portée elle aussi à basse température gela rapidement, mais aucun noyau central ne se forma et les cristaux furent désordonnés et disgracieux.

 Tout est énergie, Einstein l’a dit, le docteur Emodo[1], chercheur japonais le confirme :
« Il est parvenu à développer une méthode qui montre d’une façon étonnante que l’eau n’est pas seulement un élément vital mais qu’elle est également porteuse d’informations subtiles. C’est un véritable défi pour la science et l’humanité entière, pouvant ouvrir la voie à des relations plus conscientes et plus respectueuses envers cette substance précieuse entre toutes. »

 Il a également démontré par ses expériences que l’eau est sensible à la musique. Il a placé un flacon d’eau distillée entre des haut-parleurs et toute imprégnée de musique, après avoir été congelée, l’eau a laissé voir des cristaux très différents selon que la musique était agréable ou pas.

Il semble tout naturel pour le docteur japonais que notre corps, composé de 75% d’eau, réagisse en entendant de la musique. Le docteur Emodo est le fondateur de l’institut Suisse « WISE CRISTAL »  

Plusieurs chimistes sont du même avis que ce savant, ils tendraient eux aussi à prouver l’importance de réagir vite et très sérieusement contre les mauvais traitements que l’on fait subir aux eaux afin de les rendre potables.
Ils rendent attentif au fait que les eaux purifiées par des moyens chimiques gardent en mémoire ces traitements et les retransmettent inévitablement. L’eau qui sort « à l’état pur » des robinets, ne l’est qu’en partie seulement. Elle est chargée, et oh combien, de tous les additifs qu’elle garde en mémoire. L’eau a besoin de couler librement pour se régénérer. La canaliser dans des tuyaux n’est pas de nature à lui donner une valeur optimale.
On peut comparer la purification naturelle de l’eau au mouvement du sang dans les veines du corps humain.
Pure donc, il n’en reste que le nom.

Ces découvertes sont récentes et je vous propose de vous informer afin de mieux comprendre l’importance qu’il y a à garder un environnement aussi sain que possible.


[1]http://fantastiquephoenix.free.fr/eau/cristaux.htm
http://www.milieu-vital.ch/n-eau.htm

 

 

 

 

Les roses de Jean

 

Jean, à qui un individu fit du tort, au lieu d'en vouloir à celui qui serait sans doute devenu son plus grand ennemi, fit bien mieux que de lui garder rancune. Chaque matin, Jean prenait un temps de réflexion et, en pensée, lui envoyait un bouquet de roses.
Quelques jours passèrent et Jean vit arriver le belliqueux voisin qui, ignorant tout du stratagème de Jean, venait au devant de lui pour s'excuser de son comportement, qu’il reconnaissait lui-même avoir dépassé sa Pensée.

 

Dans ce cas, la Pensée positive de Jean avait visiblement agit sur la pensée de son voisin car, ce qui aurait pu être une rupture totale de la communication entre deux personnes, s’est trouvée transformée en une amitié. La pensée conditionnée de Jean a, à son insu, modifié la pensée de son adversaire. Celui-ci est devenu conscient et fut capable de changer son attitude au moyen de sa propre  pensée.


Le nom et le mot

 Concrétisent la pensée.  

 

Selon l'Egyptologue St Fare Garmot :
Le nom propre est un accumulateur de forces internes,
Un réservoir d'énergies latentes.
Parce que les dieux ont des noms,
Ceux de l'homme sont sacrés par analogie

 

Le nom  

Avec le nom nous sommes en présence d'une énergie cosmique extraordinaire.
Pour les Egyptiens le nom était d'une extrême importance. Il ne s'agissait pas d'un élément secondaire donné par hasard, par soin de l'esthétique ou encore pour rappeler la mémoire d'un parent défunt. Il était, pour celui qui le portait, essentiel; c’était « son identité ».

Effacer le nom ou le mot, c'était supprimer l’âme du défunt et l’empêcher de se réincarner. Certains pharaons exigeaient le martelage des noms et des visages sur les statues des pharaons qui les avaient précédés. Ce ne fut pas l'œuvre d'un fanatisme comme certains le prétendirent, mais bien le résultat d'une volonté déterminée de détruire l’individu au delà même de sa vie terrestre.

Les premiers chrétiens qui occupèrent les temples firent de même, dit-on. Il est certain que quoique l’humain fasse il peut changer la forme mais jamais le fond.
Pour les Egyptiens, la connaissance des noms apparaissait comme une science fondamentale.
Connaître le nom, c'est prendre conscience de celui qui est et de celui qui existe en puissance. C'est le pouvoir de rassembler ses potentialités et de l’amener à les réaliser. Celui qui sait les noms peut, de la même manière que le jardinier le fait dans son jardin, favoriser son épanouissement.
Dieu lui-même a porté un grand intérêt aux noms. En effet, à plusieurs reprises la Bible fait mention des noms et des Nombres, ce qui prouve l'importance du sujet.

La mission de Jacob prévue par Dieu, justifiait qu’à un moment donné Jacob ne se nommerait plus Jacob, mais… Israël. Sa nouvelle mission pouvait commencer ; il devenait le père d’une grande nation; les douze tribus d’Israël.
[1]
Dieu
en fit de même pour Abram, qui signifie  « père noble » [2] Une plus importante  mission attendait cet homme qui, dès lors, se prénommerait  Abraham, qui veut dire « père d’une multitude de nations ». 
Ecrire ou prononcer un nom c'est créer l'objet désigné. Un nouveau-né n'existe qu'à partir du moment où un nom lui a été attribué.

Le baptême est un acte symbolique important pour l'enfant, mais également pour tous ceux qui, de près ou de loin, vivront avec ce nouvel individu et qui seront eux aussi des éléments indispensables à cet être en voie d'évolution. C’est donc ce qui laisse penser que les prénoms que nous attribuons aux enfants sont établis dans un but bien précis; celui de leur permettre d'avancer sur le chemin difficile de leur quête personnelle.

Les prénoms ne sont pas un phénomène de mode comme nous pourrions le supposer. Ils sont adaptés au mode de vie de l’époque, de l’endroit du vécu et de la culture du prénommé.
Cela étant, l’homme agit et expérimente sa vie selon les éléments inclus dans ses prénoms et noms. Le pouvoir de leurs vibrations est tel qu’il conditionne l’individu et le pousse à travailler dans ce sens. Le nom est un outil précieux et indispensable. Il en est de même pour tous les mots.

Il faut considérer le prénom comme un obstacle, dans le sport, sur lequel l’athlète s'exerce et s’exerce encore jusqu'à ce qu’il maîtrise au mieux ce qui doit l'être. Cela démontre alors qu'il n’est pas accordé selon notre seul libre choix, ni par "monsieur hasard" mais bien par CELUI qui veille sur notre destinée et qui inspire les parents quand au(x) prénom(s) à donner à leur enfant.

 

«Qui ne connaît pas le pouvoir des mots,
Ne peut connaître les hommes"
 Confucius 

 

Souvent, le mot gonfle la douleur, parfois même il la crée.  

Le mot

 Pour exprimer au mieux le fond de sa pensée, il est important de lui donner sa vraie signification. Il est souhaitable d'utiliser le mot qui s'adapte le mieux à la personne à qui nous souhaitons transmettre notre message. Pour cela il est préférable d'utiliser une langue qui est familière et éviter d'y mêler des mots d'une langue qui n'est pas la sienne.

Le mélange de langues entraîne une distorsion de pensées très peu souhaitable. Nous n'en comprenons pas toujours le sens profond et, qui plus est, la prononciation est trop souvent bien loin d'être correcte. Je pense bien entendu au « franglais » qui devient de plus en plus courant de nos jours.

Il en est de même lorsque nous utilisons un mot pour un autre. Estropier un mot change ses vibrations :  

c'est lui enlever une parcelle de son identite.  

De tout temps les patois et les accents ont été les représentants de contrées et du terroir d'où l'on vient. Chacun ressent la nécessité de parler la langue de son pays et de son environnement. Les langues se modifient selon l'évolution et les besoins de l'Homme, il n'empêche qu'il est important de garder jalousement les racines de notre langue. Elle fait partie de notre culture, plus encore, c’est même un fragment de nous-même.

Galvauder une langue, par la manière fausse dont nous nous servons d’elle, l’angliciser par exemple, finit par n'être plus authentique.

Non seulement nous perdons une langue que nous aimons mais nous affaiblissons peu à peu nos racines.

 

les mots sont adaptés au lieu et aux besoins du moment.  

Les mots sont adaptés aux besoins du moment, du lieu, de la race et des valeurs propres à chaque nation. Ils sont prévus pour l’usage que chacun aura à en faire et vont de cette façon influer sur le comportement de celui qui les entend.

Universaliser la façon de parler ne me semble pas souhaitable ni même pensable. Les dialectes et les accents démontrent bien que, dans chaque région du monde, l'homme aspire à être reconnu par une identité qui lui est personnelle.  

Dans le passé l’homme vivait de la chasse, il pensait et vivait en groupe, sa survie dépendait des forces qu’il mettait en commun. Il n’avait que peu ou pas de commodités, la vie était difficile. Pour subsister il devait être fort et solide. Il était donc naturel que l'admiration se porte sur l'aspect des forces physiques.

Par la suite les changements ont donné la préférence à tous ceux qui, doués d'intelligence, faisaient preuve de forces intellectuelles. Cette condition a poussé l'homme à explorer des aspects toujours plus performants et encore plus rentables.

Ainsi, les valeurs changeant et s’adaptant à la forme d'évolution actuelle, il est bien entendu qu’elles n’ont plus qu'un faible rapport avec les moyens d'existences dans lesquelles vivaient nos ancêtres.  

L'évolution personnelle étant étroitement liée à l'expression collective qui nous entoure, il est donc important que les noms soient donnés selon les aspects qui conviennent à l'être nouveau afin qu’il soit à même de vivre sa vie nouvelle, dans ce cadre nouveau.

Il n’est pas rare de voir de nos jours ressurgir des prénoms qui n’avaient plus cours, comme Sem, Balthazar ou Melchior. Cela s’explique par le fait que les besoins d’énergie personnelle doivent être adaptés en fonction des exigences du moment. Les races et les ethnies se dispersant et se mélangeant au fil du temps, les prénoms évoluent naturellement selon le rythme des époques et des exigences.

Selon moi, le lieu de notre naissance est le résultat d'un choix délibéré bien avant la naissance. La décision se prend en relation avec le contexte où se déroulera l'incarnation en question et l’expérience que l’individu est censé devoir vivre. Dès lors il me semble légitime de prétendre que c'est la conséquence d'un libre choix pris en accord avec le Plan Divin.



[1] Genèse 32 :28,29

[2] Genèse 11 :26

Chapitre 2

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